Qui de mieux qu’une marraine pour vous raconter comment le parrainage change la vie de nos enfants du Vietnam et de Mongolie ?
Odile est partie à la rencontre de sa filleule Uyanga en Mongolie. Après des mois de correspondance, le temps était venu d’échanger en face à face.
"J’ai parrainé jusqu’en 2012 une jeune fille au Vietnam. J’avais apprécié alors les échanges réguliers avec ma filleule par l’envoi de courriers, de photos et de petits cadeaux. Ce parrainage s’est arrêté à l’initiative de l’organisation humanitaire car la communauté n’avait plus besoin du soutien de l’association pour se développer.
Je n’avais pas renouvelé de parrainage jusqu’à ce qu’une fille de nos amis participe au Challenge 2017 au Vietnam et me fasse connaître l’histoire de Christina Noble et de sa Fondation. J’ai entrepris les démarches afin de parrainer un enfant en Mongolie. C’est ainsi que je suis devenue marraine d’Uyanga en janvier 2018. Nous avons dès lors entamé des échanges par correspondance. Dans ses lettres Uyanga m’écrivait que, si j’avais l’occasion d’aller en Mongolie, elle aimerait que je vienne la voir dans sa maison...
Cette occasion s'est vite présentée puisque nous avions projeté un voyage fin août 2018...
Nous avons été reçus au siège de l’association à Oulan-Bator, capitale de la Mongolie, puis nous sommes allés en 4x4 jusqu’au camp de yourtes où vit ma filleule, et où j'ai pu constater les conditions de vie précaires de ces quartiers défavorisés : pas d’eau potable ni même d'eau courante, pas de tout à l’égout, les WC sont une cabane avec un trou dans l’enceinte de chaque emplacement de yourte...
J’ai fait la connaissance d'Uyanga ainsi que celle de sa grand-mère et de ses 6 frères et sœurs. C’est sa grand-mère qui nous a accueillis car ses parents étaient partis travailler en dehors de la ville. J’étais très heureuses et impressionnée de découvrir son cadre de vie dans une yourte : cette grande pièce circulaire est organisée avec le poêle au centre, un espace cuisine sur la gauche et un espace pour la toilette sur la droite, les lits étaient répartis sur le pourtour de la yourte.
J’avais apporté des cadeaux, notamment des vêtements et des fournitures scolaires pour elle et aussi des produits alimentaires et d’hygiène pour sa famille. Sa grand-mère nous a beaucoup remerciés et nous a offert le traditionnel thé au lait salé ainsi que des gâteaux traditionnels. J’avais l’impression que la famille avait plaisir à nous recevoir et Uyanga avait mis ses plus beaux vêtements pour l'occasion. Elle était très intimidée à la vue de ces étrangers, mais grâce à la présence de notre guide interprète et de la travailleuse sociale de l’association nous avons pu échanger et faire ainsi un peu connaissance.
Je garde un souvenir ému de cette rencontre et remercie les membres de la Fondation pour leur accueil si simple et chaleureux et le travail formidable qu'ils accomplissent. Grâce à eux, cette visite a pu avoir lieu...et a permis un nouveau parrainage ! En effet, ma sœur qui m'accompagnait a décidé de devenir marraine..."
Odile est partie à la rencontre de sa filleule Uyanga en Mongolie. Après des mois de correspondance, le temps était venu d’échanger en face à face.
"J’ai parrainé jusqu’en 2012 une jeune fille au Vietnam. J’avais apprécié alors les échanges réguliers avec ma filleule par l’envoi de courriers, de photos et de petits cadeaux. Ce parrainage s’est arrêté à l’initiative de l’organisation humanitaire car la communauté n’avait plus besoin du soutien de l’association pour se développer.
Je n’avais pas renouvelé de parrainage jusqu’à ce qu’une fille de nos amis participe au Challenge 2017 au Vietnam et me fasse connaître l’histoire de Christina Noble et de sa Fondation. J’ai entrepris les démarches afin de parrainer un enfant en Mongolie. C’est ainsi que je suis devenue marraine d’Uyanga en janvier 2018. Nous avons dès lors entamé des échanges par correspondance. Dans ses lettres Uyanga m’écrivait que, si j’avais l’occasion d’aller en Mongolie, elle aimerait que je vienne la voir dans sa maison...
Cette occasion s'est vite présentée puisque nous avions projeté un voyage fin août 2018...
Nous avons été reçus au siège de l’association à Oulan-Bator, capitale de la Mongolie, puis nous sommes allés en 4x4 jusqu’au camp de yourtes où vit ma filleule, et où j'ai pu constater les conditions de vie précaires de ces quartiers défavorisés : pas d’eau potable ni même d'eau courante, pas de tout à l’égout, les WC sont une cabane avec un trou dans l’enceinte de chaque emplacement de yourte...
J’ai fait la connaissance d'Uyanga ainsi que celle de sa grand-mère et de ses 6 frères et sœurs. C’est sa grand-mère qui nous a accueillis car ses parents étaient partis travailler en dehors de la ville. J’étais très heureuses et impressionnée de découvrir son cadre de vie dans une yourte : cette grande pièce circulaire est organisée avec le poêle au centre, un espace cuisine sur la gauche et un espace pour la toilette sur la droite, les lits étaient répartis sur le pourtour de la yourte.
J’avais apporté des cadeaux, notamment des vêtements et des fournitures scolaires pour elle et aussi des produits alimentaires et d’hygiène pour sa famille. Sa grand-mère nous a beaucoup remerciés et nous a offert le traditionnel thé au lait salé ainsi que des gâteaux traditionnels. J’avais l’impression que la famille avait plaisir à nous recevoir et Uyanga avait mis ses plus beaux vêtements pour l'occasion. Elle était très intimidée à la vue de ces étrangers, mais grâce à la présence de notre guide interprète et de la travailleuse sociale de l’association nous avons pu échanger et faire ainsi un peu connaissance.
Je garde un souvenir ému de cette rencontre et remercie les membres de la Fondation pour leur accueil si simple et chaleureux et le travail formidable qu'ils accomplissent. Grâce à eux, cette visite a pu avoir lieu...et a permis un nouveau parrainage ! En effet, ma sœur qui m'accompagnait a décidé de devenir marraine..."